Pacte des mi-putes mi-soumises

Les mi-putes mi-soumises reconnaissent comme principe premier le féminisme post-moderne. Produit du féminisme tel que théorisé dans les années 60, le féminisme post-moderne se propose de le réformer. Car, la manière dont nous gérons nos relations avec les hommes le prouve : l'esprit d'indépendance qui devrait nous animer vis-à-vis des individus masculins n'est en aucun cas achevé. Et, si nous voulons être honnêtes, nous n'en avons aucune envie. C'est pourquoi nous proposons une philosophie radicalement différente. Nous sommes mi-putes, parce que nous l'assumons. Mi-soumises parce que nous le regrettons. Et vice versa. C'est triste, mais c'est comme ça. Alors.... autant en profiter. Vous êtes cordialement invitées à partager vos expériences de mi-putes mi-soumises avec nous. Soeurellement, Les mi-putes mi-soumises

dimanche 26 août 2007

Profession misogyne


J'ai une copine qui a envie de vous faire part d'une dépêche AFP du 8 juillet 2007...
Y a du boulot, les filles ! A noter aussi que cette dépêche, personne n'en a parlé et qu'elle est classée en priortié 4 par l'AFP...


8/07/07-16h07 priorité 4 Social-société-femmes-medias,PREV
Le journalisme, une profession féminisée mais toujours misogyne (ENCADRE)

PARIS, 18 juil 2007 (AFP)-

Les femmes journalistes sont de plus en plus nombreuses, souvent en première ligne sur le terrain, mais elles occupent moins de 10% des postes de direction stratégique dans les médias, une "situation exceptionnelle en Europe", selon un rapport publié mercredi.
Le "plafond de verre", cette barrière invisible qui bloque l'avancement, "joue à fond dans le journalisme", affirme la Délégation aux droits des femmes du Sénat dans son rapport 2006-2007.
Les femmes représentent aujourd'hui plus de 42% des journalistes et 60% des effectifs des écoles de journalisme.
Elles sont particulièrement présentes sur le terrain, dans les zones de conflit, souvent plus disponibles que les hommes, note le rapport, pourtant leur situation reste marquée par l'inégalité.
Les femmes occupent moins de 10% des postes de direction "stratégiques": 9,76% pour les chaînes généralistes de télévision, 7,41% pour les radios généralistes, 3,85% pour les quotidiens nationaux et 14,8% pour les magazines.
Elles sont entre 20 et 30% dans les postes de responsabilité au sens large, et plus présentes dans les postes de "second cercle" (productrices, responsables de programmes, postes commerciaux ou responsables de publicité).
Les femmes sont souvent "cantonnées dans des spécialités moins prestigieuses" ou des médias moins convoités.
Le journalisme politique et économique reste une spécialité à dominante masculine, et les femmes sont moins nombreuses que les hommes dans la presse quotidienne (1 pour 4,6), ou à la télévision (1 pour 3,4). En revanche, elles sont en nombre presque égal dans la presse professionnelle et technique et majoritaires dans la presse féminine.
Si l'égalité salariale est en principe respectée, les indemnités liées aux responsabilités, plus souvent attribuées aux hommes, ont pour conséquence de créer des inégalités qui vont en s'aggravant au fil de la carrière, souligne le rapport.

AFP
(c) 2007 AFP/Tous droits réservés/Toute reproduction interdite


3 commentaires:

Anonyme a dit…

Mais couchez mesdames, couchez !

Anonyme a dit…

Et puis quoi, encore ? ;-)
Et vous les hommes, la promotion canapé, vous y êtes prêts quand ?

Anonyme a dit…

Mais quand vous voulez !!! Nous sommes toujours prêts à monter vous devriez commencer à le savoir ! En grade bien sûr ! Monter en grade ...